Créations Musicales

« La Hyène et le Coq » est une chanson qui mêle humour, critique sociale, et musique entraînante.

À travers cette fable animalière, j’ai voulu raconter une histoire à la fois légère et malheureusement d’actualité, portée par un rock celtique dynamique.  

« Entre Chiens et Louve » est un récit qui mêle une ambiance sombre et fantasy. La narration repose sur une musique de type rock gothique.

Dans ce voyage, au sein d'un univers médiéval-fantastique, j’ai voulu raconter l'histoire d'une mauvaise rencontre qui tourne mal pour les assaillants. Ainsi, les agresseurs sont châtiés pour leur vilénie dans une sorte de morale où tel est pris qui croyait prendre. La voix chaude et profonde du chanteur (virtuel) ajoute une certaine gravité à l'atmosphère irréelle du morceau.  

« Dernier Souffle » est une histoire qui trotte dans ma tête depuis bien longtemps. Elle raconte une invasion extraterrestre que j'avais imaginée « non violente » . C'est le récit d'un peuple qui a perdu sa propre planète et qui arrive sur Terre pour demander refuge. Mais, fidèle à ce que nous sommes, une grande partie des humains refuse d'accorder cet asile. Face à ce rejet, les extraterrestres, qui s'interdisent d'utiliser la violence, décident de repartir. Cependant, avant de quitter notre monde, ils libèrent dans l'atmosphère une substance (symbolisée par la brume dans la chanson) qui stérilise le genre humain. Quand ils reviennent 80 ans plus tard, ils assistent à la fin de l'humanité et prennent possession de la planète, sans combat ni destruction. Dans la chanson, une fillette extraterrestre trouve le doyen des humains et l'assiste jusqu'à son dernier souffle. 

La chanson que je vous propose aujourd'hui est un petit délire personnel sur l'univers des comics, un domaine qui me passionne depuis toujours. Je dédie ce morceau à tous les "Hermann" et toutes les "Herwomann" (permettez-moi ce néologisme !) qui, chaque jour, font face à des individus abusifs et toxiques. Ces "Sinistres" qui, sans scrupules, profitent de la gentillesse, de la patience et des compétences de ceux qu'ils harcèlent. Que cet hymne vous procure un brin de courage et, je l'espère, un sourire !

Heureusement, je n'ai jamais eu à croiser toute la panoplie de ces horribles personnages réunis autour de notre brave "Hermann". Mais chacun d'eux illustre une réalité que certains vivent, et qu'il faut dénoncer. Une atmosphère aussi délétère peut briser l'épanouissement nécessaire à l'accomplissement de son travail.

Sur une note plus légère, les vilains que j'ai choisis pour composer "mes Sinistres Six" ne correspondent pas forcément aux tout premiers créés par "La Maison des Idées". L'un d'entre eux, d'ailleurs, n'en a même jamais fait partie (à ma connaissance).

Pour ce 5ème titre, j'aimerai vous plonger dans un univers fantastique où les forces primales, incarnées par d'imposants géants élémentaires, s'éveillent face à l'arrogance des mortels. "La Marche des Géants" explore les conséquences d’un monde dystopique, bien éloigné de notre sagesse exemplaire… du moins, on ose l’espérer !

Cette chanson est un appel à la réflexion sur notre rapport à la nature et à certaines avancées technologiques, dissimulé sous les atours d'une épopée mythologique.

J'espère que vous apprécierez ce voyage au cœur des éléments et des légendes. 

Voici mon sixième projet aux accents résolument dystopiques. Ce dernier mêle plusieurs univers que l'on reconnait sans peine. Les passages vocaux mêlent la voix d’une narratrice elfe à celle d’un de ses semblables aux accents plus rock. Ils constituent des témoins impuissants, affligés et consternés, qui guident l’auditeur dans les méandres d’un monde déchu où vivent les « Lambdas », citoyens et citoyennes de cette dystopie. Le résultat final – dont la durée évoque les grandes heures du Rock Progressif – s’adresse à celles et ceux qui aiment se laisser porter par une narration longue, contrastée et parfois déroutante. 

Voici mon septième projet qui est le fantôme d’un rêve de jeunesse qui revient à la vie.

En effet, j’ai composé la musique de cette chanson à l’âge de 17 ans. À l’époque, j’avais trouvé la rythmique guitare des couplets et refrain, la ligne vocale et un petit riff qui me trottait dans la tête — mais je n’étais jamais parvenu à écrire des paroles satisfaisantes pour en faire un morceau abouti. 

La chanson raconte l’histoire d’un homme, autrefois mauvais, qui a peut-être — implicitement ou non — scellé un pacte avec le Diable. Un jour, il commence à percevoir des phénomènes étranges. Des voix, des ombres, des signes ; hallucinations ou réalité ? Peu à peu, le doute le ronge, jusqu’à ce qu’il réalise qu’il est temps de payer sa dette. Et qu’il n’y a plus d’échappatoire.